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Le renard est dans le pré
Le renard est dans le pré,
Cours-y vite,Cours-y vite,
Le renard est dans le pré,
Cours-y vite,il faut l'flinguer
Allez je vais m'attirer les foudres des protecteurs de Goupil.Le tueur de poules.
Tant pi ,osons,mais usons là d'un stratagème:la métaphore...
Présupposons que le renard ,c'est la sommes des emmerdements causés par celui qui nous gouverne et que nous,nous sommes les poules.
Alors que faire en ces temps d'ouverture de la chasse...hein...?
Cours-y vite,Cours-y vite,
Le renard est dans le pré,
Cours-y vite,il faut l'flinguer
Allez je vais m'attirer les foudres des protecteurs de Goupil.Le tueur de poules.
Tant pi ,osons,mais usons là d'un stratagème:la métaphore...
Présupposons que le renard ,c'est la sommes des emmerdements causés par celui qui nous gouverne et que nous,nous sommes les poules.
Alors que faire en ces temps d'ouverture de la chasse...hein...?
Elle est pas belle la vie ?
Alors que vous êtes tous sur les routes ,repus de vacances,gavés de soleil,oints de vos plus efficaces crèmes protectrices,bref bronzés,ça vous amusera peut-être de savoir que:
-La boîte aux lettres est bourrée de factures.
-Les fenêtres du salon plein ouest sont restées ouvertes à la pluie ,au vent,aux poussières.
-Le voisin du dessous que vous aimiez tant est décédé en dévalant les marches
de la cave (tout ça pour une bouteille de vin).
-Le loyer du mois n'a pas été honoré (la faute à qui?)
-L'ordinateur plante pour faute de mises à jour régulières (plus d'internet).
-Le gaz va augmenter d'entre 2 et 10 % (merci la libre concurrence).
-La sécu n'a toujours pas remboursé les frais de séjour avancés à la clinique
pour l'appendicite de junior (dans les hopitaux du secteur public,on ne débourse rien,
tu sais pas ça?)
-Les impots attendent le tiers provisionnel.
-La poubelle est en état de décomposition avancée parce qu'elle est restée pleine pendant
trois semaines.
-La fac de ta fille demande une attestation au lycée et attend les résultats du bac
qui ne lui sont pas parvenus ( donc pas de validation à temps pour la chambre de la citée U)
-La famille peut éclater à cause de la micro aventure (à la soirée remise des prix de la courses en sac du camping) que tu as eue avec la petite voisine arrivée première.
Et voui,ta femme était invitée sur le deux mats du patron du restaurant d'à côté qui fêtait ses
quarante ans avec plein de jeunes et jolis jeunes gens.
Maintenant c'est le jour des retours:
- Il fait une chaleur à ne pas oublier un bébé sur un parking pendant
que tu vas faire les courses.
-La radio annonce les bouchons au fur et à mesure.
-Tu dois reprendre demain sans savoir que ton patron a décidé de te remplacer à
ton poste par sa fille toute fraîche sortie première de sa promotion.
Mais non tu n'es pas encore "has been"
On t'a refilé la logistique et une petite enveloppe.
Il fait toujours aussi chaud,la clim marche un coup sur deux et tu avances au pas...
Alors...Profites de ce bon moment...
Ah ... au fait...le p'tit jeune d'en face s'est trouvé une jolie pt'tit' fiancée...
"Elle est pas belle la vie ?"
A goûter...solitaire...
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit
Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon
Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l'abricot
Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin
Je me fais laminer l'écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu
Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot
Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson
Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou
Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour , je baise, tout simplement
Vacances ailleurs ...retour ici...
Je pourrais parler ici de mes vacances en "régions".Oui ,on ne dit plus provinces depuis un bon bout de temps.
Depuis que Paris annexe petit à petit la petite ceinture,la banlieue,la grande banlieue;
Bref ,ce qui demain ,à l'heure où blanchira la campagne s'appellera le Grand Paris.
J'aurais pu raconter les semaines de ces congés payés bienfaitrices pour le corps et l'esprit ( surtout pour l'esprit).Quatre kilos de sur-poids de surcroît faute aux cochonnailles et repas et apéritifs improvisés chez les uns et les autres parce que:
"Il ne faut pas repartir sur une jambe...
- Oui mais juste le dernier.
-Vous allez rester dîner.
-on n'est pas venu pour ça.
-Po,po,po,po!!!
-Bon ,si vous insistez,j'avais justement une bouteille dans le coffre.
- Garde là ,on a fait les caves avec les cousins
-Alors si c'est gustatif !"
Quatre kilos ...C'est mon médecin qui va tonner à la lecture de l'analyse de rentrée...
Voilà pour ce qui était des vacances.Pas de quoi passer le réveillon la dessus.Non?
Il y a quelques temps j'avais conté que ma compagne qui m'accompagne et je (moi),
avions emménagé face à un immeuble dont l'appartement d'en face est occupé par un de ces premiers de la classe surnommé par nous (elle et moi) X.Bertrand.
C'est un jeune homme dont nous voyons vivre son quotidien de jeune homme un peu comme un spectacle: lever du rideau,petit dejeuner devant le Mac,habillage et travail devant l'ordinateur toute sa sainte journée de jeune homme.A soleil couchant,fermeture du rideau.
Une vie trépidante somme toute.
Un jour,un réveil avec une individue sexuée de sexe opposé,sans doute issue d'une de ces soirées de jeunes premières de la classe...
Lever du rideau,petit bisou,petit déjeuner.
Lui: pas très câlin,elle tout juste.
Une sexualité trépidante somme toute.
Le temps immuable pour ce jeune homme :Mêmes gestes,mêmes journées.
Les matins succédant aux soirs,les jours aux jours d'un studieux célibat.
.
Hier, nous rentrons de régions donc.
La chaleur de la route,le déballage du coffre.Tout ce qui amène à regarder nos souvenirs (plus jamais argentiques) sur notre domestique écran dont les pouces remplacent désormais les cm
et les pixels ,l'halogénure d'argent.
Une soirée ,un bon câlin,une bonne nuit dans Paris désert au mois d'août.La vraie vie ,quoi...
Au matin de ce jour d'aujourd'hui (pour faire court),ouverture de nos rideaux cette fois et devant nous,en face X.B en joli caleçon fleuri et....et... la jolie première de la classe.
De notre manie de surnommer tout le monde, nous n'avons pas encore baptisé cette jeune femme un peu fade mais jolie tout de même.Ça viendra sans doute avec le petit col Claudine qu'elle arbore, après sa toilette matutinale.
Ce matin,rien ne manque,il est parti chercher les croissants pendant une bonne demi heure,elle a rangé chez lui (il ne sera pas content mais ne le montrera pas).
Elle s'est habillée classique ,a passé l'aspirateur,fait le lit,préparé la table pour le petit déjeuner en attendant le retour du mâle chasseur de baguette fraîche.
Il revient, à peine un geste de tendresse.
En silence, ils se mettent à table sous l'oeil bienveillant de l'ordinateur qui les observera
et s'il pouvait penser se dirait:
"Un couple bien trépidant somme toute"
A suivre...peut-être...
Depuis que Paris annexe petit à petit la petite ceinture,la banlieue,la grande banlieue;
Bref ,ce qui demain ,à l'heure où blanchira la campagne s'appellera le Grand Paris.
J'aurais pu raconter les semaines de ces congés payés bienfaitrices pour le corps et l'esprit ( surtout pour l'esprit).Quatre kilos de sur-poids de surcroît faute aux cochonnailles et repas et apéritifs improvisés chez les uns et les autres parce que:
"Il ne faut pas repartir sur une jambe...
- Oui mais juste le dernier.
-Vous allez rester dîner.
-on n'est pas venu pour ça.
-Po,po,po,po!!!
-Bon ,si vous insistez,j'avais justement une bouteille dans le coffre.
- Garde là ,on a fait les caves avec les cousins
-Alors si c'est gustatif !"
Quatre kilos ...C'est mon médecin qui va tonner à la lecture de l'analyse de rentrée...
Voilà pour ce qui était des vacances.Pas de quoi passer le réveillon la dessus.Non?
Il y a quelques temps j'avais conté que ma compagne qui m'accompagne et je (moi),
avions emménagé face à un immeuble dont l'appartement d'en face est occupé par un de ces premiers de la classe surnommé par nous (elle et moi) X.Bertrand.
C'est un jeune homme dont nous voyons vivre son quotidien de jeune homme un peu comme un spectacle: lever du rideau,petit dejeuner devant le Mac,habillage et travail devant l'ordinateur toute sa sainte journée de jeune homme.A soleil couchant,fermeture du rideau.
Une vie trépidante somme toute.
Un jour,un réveil avec une individue sexuée de sexe opposé,sans doute issue d'une de ces soirées de jeunes premières de la classe...
Lever du rideau,petit bisou,petit déjeuner.
Lui: pas très câlin,elle tout juste.
Une sexualité trépidante somme toute.
Le temps immuable pour ce jeune homme :Mêmes gestes,mêmes journées.
Les matins succédant aux soirs,les jours aux jours d'un studieux célibat.
.
Hier, nous rentrons de régions donc.
La chaleur de la route,le déballage du coffre.Tout ce qui amène à regarder nos souvenirs (plus jamais argentiques) sur notre domestique écran dont les pouces remplacent désormais les cm
et les pixels ,l'halogénure d'argent.
Une soirée ,un bon câlin,une bonne nuit dans Paris désert au mois d'août.La vraie vie ,quoi...
Au matin de ce jour d'aujourd'hui (pour faire court),ouverture de nos rideaux cette fois et devant nous,en face X.B en joli caleçon fleuri et....et... la jolie première de la classe.
De notre manie de surnommer tout le monde, nous n'avons pas encore baptisé cette jeune femme un peu fade mais jolie tout de même.Ça viendra sans doute avec le petit col Claudine qu'elle arbore, après sa toilette matutinale.
Ce matin,rien ne manque,il est parti chercher les croissants pendant une bonne demi heure,elle a rangé chez lui (il ne sera pas content mais ne le montrera pas).
Elle s'est habillée classique ,a passé l'aspirateur,fait le lit,préparé la table pour le petit déjeuner en attendant le retour du mâle chasseur de baguette fraîche.
Il revient, à peine un geste de tendresse.
En silence, ils se mettent à table sous l'oeil bienveillant de l'ordinateur qui les observera
et s'il pouvait penser se dirait:
"Un couple bien trépidant somme toute"
A suivre...peut-être...
Demain
Je reviens demain avec de nouvelles histoires et de belles images estivales...
A demain.
A demain.
